2019 - Sortie Dégommage du 17 mars
Samedi : grand beau, 20°. Mais le dégommage avait lieu le dimanche, avec pluie annoncée et 10° maxi… Et pourtant c’est sous un joli rayon de soleil que tout le monde se retrouve à la piscine de Riom pour assister au briefing, à l’heure. Mais ça ne va pas forcément durer… Quelques nuages arrivent du nord. Et si certains équipages passeront à travers les gouttes du road book, d’autres, sans doute influencés par la piscine, tenteront avec plus ou moins de réussite de surnager… ou s’y noieront…
Première surprise, dès la case 4. Certains ne verront pas immédiatement la route partant à droite au feu, ce qui leur fera perdre quelques minutes importantes dans une étape chronométrée… La montée vers le col de la croix de fer permettra à tout un chacun de relever la lettre située à droite. A droite, pas celle située à gauche ! Après Les Grosliers, nous arrivons à Prompsat. Pas de grande difficulté, sinon de trouver la plaque de licence d’un très vieux café, fixée au sommet d’une porte, pour identifier la maison située au n°3… Puis Teilhède… Il ne fallait pas hésiter à s’enfoncer vers l’impasse, située 50 m plus loin, puis ne pas avoir peur de l’étroitesse de la rue montant vers l’église (13 et 3), sans oublier de compter les croix de plus d’1m de haut (3)
Enfin, un petit tour autour du monument au mort pour expliquer qui était Charles Chouvy (déporté politique) avant de reprendre la grande route.
Mais pour passer du 1er coup, encore fallait-il avoir noté que les pages du road book n’étaient pas dans l’ordre… « Erreur » que me fera remarquer des concurrents en Fulvia claire, qui arriveront par 2 fois directement au monument au mort, sans passer par les petites rues… avant de corriger d’eux-mêmes…
Une autre Fulvia (rouge celle-ci) sera croisée à vive allure (!) redescendant vers Teilhède. Et oui, il fallait tourner autour du monument au mort, mais ne pas oublier Charles !
Un peu plus haut, c’est une Audi Quattro qui sera croisée, arrivant d’une direction improbable… C’est la dernière fois qu’on verra cette voiture dans cette étape… Même le contrôleur horaire installé à La Brousse pliera le camp sans l’avoir vue passer. C’est par téléphone qu’elle sera guidée jusqu’à St Hilaire la Croix, où les concurrents se retrouvent pour la pause de la matinée, après avoir traversé une « zone bleue » et observer rapidement les Rochers de Rufino, du nom du sculpteur qui sculte la montagne… Mais avant de se garer sur le parking à St Hilaire la Croix, il faut faire le tour du village, sans oublier la lettre à droite au niveau de l’étang, mais sans oublier non plus la pince, devant le transformateur, également au bord de l’étang…
Pause-café dans la petite salle ouverte pour nous par la mairie dans l’ancien prieuré du lac Roy, visite rapide de l’église Ste Madeleine (12e siècle) et il faut déjà songer à repartir, sous la pluie qui est arrivée…
Première question, le nom des habitants de la maison aux volets verts. Mais il fallait bien attendre de passer la case 5 avant de chercher le nom sur la boîte aux lettres située à droite, sous peine de prendre un mauvais nom figurant sur une autre maison, située trop tôt, à gauche et dans le carrefour…
Puis la route défile, sans trop de difficultés, jusqu’à Ebreuil… Le restaurant le 308, les 5 crayons sur le mur de l’école n’auront pas posé de difficulté. Seul l’ancien camping « La Filature » ne devait pas être confondu avec le camping municipal…
Contrôle horaire au cœur de la forêt, puis petite et grande Lande, une nouvelle zone bleue et direction Les Mosnoux. Pour être sûr de la direction, on pouvait se référer au road book de la 1ère étape. Mais il ne fallait pas oublier d’obliquer brutalement à gauche juste après, pour tourner un peu en bourrique autour d’un petit bosquet, en compagnie de certains de ses petits camarades de jeu.
Et ne pas prendre les 2 lettres, à gauche, puis finalement les prendre, car elles se retrouvent à droite ! On descend ensuite droit dans les gorges de Chouvigny, en jetant au passage un œil au vieux lavoir (ou tout au moins au panneau l’indiquant), en ramassant la dernière lettre, et en filant rejoindre l’arrivée, où une charmante co-organisatrice attend au sec sous le barnum (mais pas au chaud…).
Ca y est, la pression peut retomber, il suffit juste de faire demi-tour pour aller se garer devant le restaurant et refaire le parcours dans sa tête, pour essayer de deviner son classement… Classement que vous trouverez ci-joint et qui révèlera son lot de surprises, bonnes ou moins bonnes…
Nous espérons en tout cas que vous aurez eu plaisir à vadrouiller sur ces petites routes et peut-être à la prochaine !
Les organisateurs,
Catherine, Sabine, François, Serge, Jean-François